HOMME INACCESSIBLE

< Chapitre 4479

Chapitre 4479

Margot était un peu étonné par les mots de Clément.

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C’était la première fois qu’il a entendu un tel point de vue, et s’il entendait ça dans la bouche de quelqu’un d’autre, il s’en moquerait tout en pensant que c’était d’une insupportable vantardise. Après tout, il avait toujours l’impression que dans la Cité G où l’industrie du divertissement était bien développée, les riches ne pouvaient pas résister à la tentation de fréquenter les stars du monde du divertissement et même bon nombre d’entre eux les ont épousées.

C’était aussi

pour ça qu’il trouvait bizarre que Clément soit si dégoûté par le monde du divertissement.

Mais après réflexion, il s’est rendu compte d’un fait étonnant: dans la Cité G, c’étaient souvent les riches de deuxième génération qui aimaient vraiment fréquenter les stars, mais les riches partis de rien se fichalent pour la plupart du monde du divertissement.

Comme c’était très souvent le cas, un gosse de riche faisait la cour à une star et voulait même la prendre pour épouse, mais ses parents ont tout fait pour l’en empêcher.

Les riches partis de rien étaient plus forts que ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche à tous les niveaux, que ce soit au niveau de la compétence, de l’audace, de l’expérience et de la perception de sol, alors naturellement, ils méprisaient les stars du monde du divertissement.

À ce moment, Margot a enfin réalisé que Clément méprisait vraiment le monde du divertissement, alors il a dit en rougissant de honte:

-M. Clément, vous avez raison, effectivement les véritables riches doivent éviter tout bien étroit avec le monde du divertissement….

Clément a dit en souriant:

Oh, j’ai failli oublier que tu as aussi noué autrefois des liens étroits avec le monde du divertissement ! Ben, je viens juste de te dire des perceptions individuelles et ne les prends pas trop à coeur, s’il te plaît. Margot a eu un sourire géné et a détourné la conversation:

-M. Clément, parlons de coopération!

Clément a regarde l’heure et a dit en souriant!

-Il est déjà presque midi et si on parlait de ça après le repas?

-Bon d’accord, on va aller manger d’abord! a dit Margot.

À ce moment, Clément a reçu un appel de Roselyne, alors il a dit à Margot:

– Excuse–moi, M. Margot, je réponds.

Margot a hoché la tête et a dit : Text property © Nôvel(D)ra/ma.Org.

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Oui, oui, allez–y!

Clément a pris l’appel et a mis le téléphone contre son oreille!

-Bonjour, Mille Roselyne

Au téléphone, Roselyne a dit respectueusement:

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– M. Clément, je vous appelle pour vous informer que l’avion sur lequel se trouve Adolphe atterrira à l’aéroport de la Cité dans environ deux heures et demie, a 14 heures, heure locale de la Cite G, et vous feriez mieux de vous y préparer à l’avance.

Clément, en vérifiant que Margot assis en face de lui à une assez grande distance ne pouvait pas l’entendre, a dit en souriant:

Rassure–toi, Mile Rosélyne, tout est bien préparé!

Entendant un grondement sourd des moteurs au téléphone, Clément a demandé:

Mile Rosélyne, tu es maintenant dans l’avion

-Oui, M. Clément, a dit Roselyne, j’allais vous dire que pour assurer que le rapatriement d’Adolphe se passe bien, Gervais et morsommes aussi partis pour la Cité G. Notre arrivée à heures heure locale, bien que nous atterrissions une demi–heure plus tard qu’Adolphe, nous devrions passer à la douane avant lui vu qu’il prendra du temps pour remplir des formalités nécessaires.

e à la Cité Gest

G est prévue à 14